Le camp de prière Jésus est Mon Sauveur fête 08 ans d’existence. C’était ce samedi 8 juin 2024 à Pahou où les fidèles venus de tous horizons sont restés en famille pour louer le Seigneur et rendre grâce. Les grands apôtres du Bénin et du Togo n’ont pas manqué ce grand événement religieux.
Ils sont plus de 45.000 fidèles du Bénin et du Togo à avoir participé avec faste à la célébration du huitième anniversaire du camp de prière Jésus est Mon Sauveur. Rassemblés autour du même objectif, les fidèles de ce camp de prière ont chanté et loué Dieu en présence de leurs apôtres. Pour le fondateur de ce camp de prière, Jean A . Fangbédji, le parcours de 8 ans n’est pas moindre et il est important de rendre grâce. « Vraiment, je suis très ravie et Dieu nous a fait grâce et aujourd’hui on fête nos 8 ans d’existence », a-t-il fait savoir. Pour lui, Dieu a tellement fait des merveilles pour ce camp de prière. « Dans les 8 ans, Dieu nous a fait grâce et on a la clinique, on a l’école, on a la télévision et la radio le sauveur de même que les infrastructures qui sont actuellement sur le camp », a-t-il expliqué. Plus loin, il parle des miracles de Dieu dans sa vie et pour ce camp de prière. « Dieu a changé ma vie en tant que personne. Je suis très content de ses œuvres et j’en suis fière. Dieu a guéri les maladies incurables et a même ressuscité les morts ici. Des fois, les sapeurs pompiers amènent les troubles mentaux et Dieu les guérit. Comme la réussite de toute chose n’est pas si facile, il n’a pas manqué de souligner les difficultés. « Le début était vraiment difficile. On avait commencé sous les bâches. À peine 150 ou 160 personnes venaient et aujourd’hui on a plus de 45 000 personne « . Il n’a pas manqué de demander au Seigneur la paix pour la nation béninoise.
Venu soutenir ses frères religieux du Bénin, le secrétaire général de l’église apostolique du Togo, l’apôtre Ayitiga Komi Pierre, manifeste également sa joie. « 8 année d’existence est un signe qui nous ramène vers la perfection, vers la réjouissances et vers un acquis total. C’est la raison de notre présence au Bénin pour soutenir nos frères » a-t-il laissé entendre. Pour lui, deux leçons peuvent être tirées de cette célébration. Il s’agit de « comment l’homme de Dieu doit se consacrer à Dieu pour qu’il l’utilise en tant qu’homme » et « comment les fidèles doivent servir le seigneur pour être béni ».
Pour Benjamin Amoussou, fidèle fervent depuis la création du camp, tous les problèmes qui viennent dans ce camp trouvent toujours de solution. Il faut alors rendre grâce pour les œuvres du Seigneur.
Gildas Ahogni