Le porte-parole de la police républicaine, le commissaire Major Eric Orou Yérima a, suite à une rencontre entre la hiérarchie policière et les responsables du Centre national de sécurité routière (Cnsr) dans le cadre du lancement d’une deuxième phase de la répression, fait le point de la première phase de répression en cours. Selon le porte-parole de la police républicaine, « dans le Littoral, c’est plus de 400, voire 500 personnes qui verbalisées au quotidien » . Mais il a noté que ce nombre diminue chaque jour à mesure que l’opération évolue. « Ce qui veut dire, une fois de plus que les usagers ont commencé par intégrer à leur manière de fonctionner, le respect des prescriptions du code de la route », s’est réjoui le commissaire Major Éric Orou Yérima.
Ce dernier n’a pas manqué d’apporter des précisions sur la deuxième phase de la répression qui démarre fin avril prochain. Il a déclaré que cette deuxième phase de répression sera accentuée autour du contrôle des pièces liées à la mise en circulation des véhicules. « En ce qui concerne les conducteurs de véhicule, il s’agira de procéder au contrôle des pièces afférentes à la mise en circulation de ces moyens de locomotion. Dans ce cadre, il sera procédé dans un premier temps à la vérification de la validité de la police d’assurance souscrite par les propriétaires de ces véhicules » a -t- il laissé entendre avant d’ajouter : « Dans un deuxième temps, nous allons vérifier le paiement des Taxes sur les véhicules à moteurs (Tvm). Cette deuxième phase va concerner également la vérification de la validité de la visite technique… Ainsi donc, pour compter de la période retenue, c’est-à-dire fin avril 2024, les équipes déployées sur le terrain dans le cadre de la première phase de cette opération prendront en compte les vérifications des pièces des véhicules ».